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Le sponsor du mois

15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 23:48


Rassuré par sa performance au trail de La Pérouse, Stéphane s'alignait ce dimanche sur le semi marathon de Gray. En ce début de saison, l'objectif était de passer sous les 1 heure 30.
Alors place à la course résumée par notre CTD du jour.

"L’après midi s’est déroulée sous le soleil, avec une température de 13°C, de bonnes conditions pour courir en dehors du vent qui, chose bizarre, était toujours de face (du moins c’est l’impression que j’ai eu)"

14H00 le départ est donné



Fidèle à sa tactique de la saison précédente où il ridiculisa le départ boulet de canon de Gilles, il ne peut résister et démarre encore une fois très très très.... vite.
Cette fois, même lui en convient :
"Cela pour dire que je suis parti un peu trop vite pour un semi de début de saison, un premier kilomètre en 3’47."




"Je suis passé au 15ième km en 1h00’32 et à ce moment là j’étais en 34ième position"



C'est à partir de ce moment que cela se complique, le visage et les jambes se crispent.




Voici ses mots pour commenter sa fin de course, et question fin de course difficile je suis normalement le spécialiste.

"pour terminer  à l’agonie ou presque".
La fin de course  fût l’une des plus dure psychologiquement de ma longue carrière (en fait j’ai lutté pour ne pas marcher, et pourtant c’était plat). Pour tenter d’imaginer ma fin de course voici quelques chiffres : un premier kilomètre en 3’47 et un dernier kilomètre en 5’05".

Arrivée en  1 H 30 MIN 05 SEC, un résultat plus qu'honorable et très proche de l'objectif.

Gilles a donné naissance au DBC moi je pense donner naissance au APM (arrivée pétard mouillé) ou un truc de ce style, il y a bien un ctd qui trouvera quelque chose pour qualifier certaine de mes fins de courses.
Je compte sur vous !!



Enfin un repos bien mérité, avec un programme de fin de journée alléchant :
"Voilà je vais essayer de garder le positif (le début), mais là maintenant je vais noyer ma déception en allant manger de la glace maison (spécialité d’Anne) parfum tiramisu, au moins ½ litre, il faut au moins ça pour oublier"

Avec en prime une belle récompense à poser sur la cheminée.



Résultat  final avec 455 arrivants :

Stéphane   73ème en 1 H 30 min 05 sec.

PS : Merci à la soeur de Stéphane pour les photos qui nous permettent de garder des souvenirs et d'agrémenter les résumés. A bientôt sur une prochaine course.
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 21:33


Nos valeureux CTD du jour : ( de g à d ) Hugues,Stéphane,Patricia, Gilles et Olivier



Récit de la course par Patricia

 
Les maillots oranges étant pressés de sortir du placard, nous avons décidé de nous dégourdir les jambes en participant à ce trail à Plombières-Les-Dijon.

Au début de la semaine nous apprenons la défection de JC et une incertitude concernant Stéphane. Pour renforcer les troupes nous recrutons un nouveau CTD : Hugues.
Samedi, Hugues (qui est en préparation pour le Marathon de Paris) nous dit qu'il préfère courir le 25km ( nous avions prévu le 12km). Un petit moment de flottement et puis on décide de l'accompagner sur cette distance (25km 800dev+). Un coup de fil à Gilles, pas de problème, toujours partant pour les trails longue distance. Il reste Stéphane à convaincre mais on ne sait toujours pas s'il vient. Dimanche matin en voiture, il nous envoit un SMS : il est en route et super motivé... on en profite pour lui répondre que c'est bien qu'il soit en forme car il va courir 25km...! 

Au départ temps couvert et un peu frais : 4°C. Olivier m'apprend qu'il n'y a que 150 inscrits et visiblement peu de femmes. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour moi : je vais courir seule et derrière. Le coup de feu est donné, on prend une rue dans Plombières et puis rapidement une monotrace dans la forêt, un petit raidillon ... je décide de ne pas me stresser d'être à la fin, je ne veux pas me griller car la course va être longue, je prends un rythme tranquille. Je ne sais pas si c'est le réveil un peu matinal (5h45) ou l'habitude de courir avec les chaines mais j'ai fait 3 chutes, le terrain n'était pourtant pas si gras mais je ne me suis pas méfiée des racines et des cailloux cachés sous les feuilles.

Le parcours est agréable, on enchaine des bosses et des descentes en forêts, des faux-plats montants ou descendants sur le plateau, enfin du trail, quoi! Au ravito du 14ème km, je reconnais de loin un maillot orange, tiens, Olivier? Vu son faible kilométrage il était parti avec Hugues et avait décidé de m'attendre pour faire la 2ème partie avec moi. C'est sympa ça me fait de la compagnie...mais au bout de 2 heures de course le voilà pris de ... crampes... et oui une pénible fin de course s'annonce! Et c'est vrai qu'il a été un peu pénible à la fin... "j'vais pas pouvoir finir", "j'en peux plus" et même "si j'avais su qu'un jour j'aurais du mal à te suivre en course"...! Heureusement que la fin est tout en descente, ça passe plus vite! A l'arrivée nous retrouvons les CTD : Séphane est arrivé devant Gilles au sprint en 2h14, Hugues est arrivé en 2h30 et Olivier et moi en 2h40 environ.

Après la course nous sommes allés dans la salle pour le ravitaillement et j'en ai profité pour prendre une douche, j'en avais bien besoin après mes 3 chutes dans la terre et un genou en sang! En sortant des vestiaires je rejoins les garçons, c'était la remise des prix. J'étais en train de dire que vu le peu de féminines, s'il y a un classement par catégorie je ne devrais pas être loin du podium, quand... on appelle mon nom... en 2ème senior femme! Je regarde quand même s'il n'y a pas une homonyme... et non, c'est bien moi! Je monte sur l'estrade, on me remet une coupe et un cuissard Craft... je fais coucou aux CTD, incrédules au fond de la salle et je savoure ce petit moment de gloire!

Pour être tout à fait honnête je dois quand même préciser que nous n'étions que 2 senior femmes!!! Mais bon, les autres n'avaient qu'à venir au lieu de faire le 12km ou de rester au chaud, si nous n'étions que 2, c'est que la course était difficile! Alors, voilà, j'ai fait la fière en sortant de la salle et dans la rue avec ma coupe à la main, c'est quand même la classe!



Résultat officiels :     25 km, 800m dev+  et  145 arrivants

Stéphane     56 ème en 2h 13 min et 32 sec
Gilles            57 éme en 2H 14 min et 02 sec
Hugues        110 éme en 2H 30 min et 18 sec
Patricia        130 ème en 2H 41 min et 14 sec
Olivier           131 ème en 2H 41 min et 16 sec
             VIDEO DE LA COURSE                     


 



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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 13:15


ça c'est fait !

C'était mon défi de ce début d'année, et quel défi !
Il fallait faire l'amour à Mouthe en ski de fond
( mais non !!! Lamoura - Mouthe  76 km ).
La transjurassienne , c'est la course de ski de fond la plus importante de France avec plus de 4000 inscrits sur les différentes distances. La plus prestigieuse et la plus difficile étant les 76 km en style libre avec plus de 2300 partants.
Habitant depuis quelques années dans le haut Doubs et à 10 km de Mouthe, c'est la course incontournable pour tout skieur motivé. Même si cela ne fait que 2 ans que je commence à faire régulièrement du ski de fond , ma technique est quasi nulle et faire la transju n'était encore qu'un rêve.
Puis cette neige arrivée dès le mois de novembre m'a permis de m'entraîner régulièrement, de prendre un peu plus d'assurance, et je me suis dit : c'est cette année qu'il faut essayer.

Après 2 mois de préparation, et plus de 600 km d'entrainement avec mon coach et sparing partner ( Anthony ) me voilà enfin prêt à affronter cette course mythique.

La veille est consacrée au fartage , pour moi ce sera le gris pour la première couche et du orange fluoré pour la finition!  Coup de chance , exactement ce qui est recommandé par les spécialistes.

Dimanche, rendez vous 5H15 à Mouthe pour prendre la navette.
Après 2 H00 de route nous voilà arrivés à Lamoura. 2500 skieurs attendent le départ dans une bonne ambiance et une température bien supportable ( - 4°).


Mais il est tombé 10 cm de poudreuse dans la nuit et comme on dit dans le peloton  " ça va brasser" c'est à dire qu'il va falloir skater dans une épaisseur de 10 cm de neige au lieu d'une piste bien plate et glissante. Il va falloir forcer davantage sur les skis et les batons et lever plus haut les jambes, rien d'encourageant pour les crampes !

8h30 départ de la première ligne
cliquez ici pour voir le départ
c'est filmé avec ma caméra car je comptais filmer un peu de la course
mais finalement je n'ai pas eu le courage de la ressortir de la housse.

Pour moi cela sera 8H45 avec les novices de la 4ème ligne.
Grand coup de feu qui résonne dans la combe, les filets se lèvent et c'est parti !
Surtout protéger les bâtons pour ne pas les casser et éviter tous les obstacles ( skis , bâtons, chutes...).


Les 10 premiers km passent vite , les sensations de glisse sont bonnes, je double un peu dans les descentes ( ouf le fartage est bon!). La difficulté en ski c'est les dépassements et toujours respecter les distances de sécurité pour ne pas taper le bâton d'un autre ou percuter les skis de devant. Il faut toujours rester concentré pour éviter la chute ou la casse de matériel.


Premier ravito à Prémanon, Il y a du choix mais cela est beaucoup plus technique qu'en course à pied car avec les skis, difficile de se frayer un chemin et puis avec les gants , pas facile d'attrapper les verres et la nourriture. Enfin mon choix est fait cela sera comté et pain d'épice de Mouthe agrémenté d'un verre de thé et d'une boisson energisante. Je me tiendrais à ce régime pour tous les ravitos.

20ème km passage dans les Rousses, belle ambiance et 2ème ravito. C'est le passage de la célèbre montée de l'opticien. En fait c'est une pente très raide de 200 m avec une foule importante de chaque côté qui secoue les cloches et le speaker qui nous encourage ... très sympa.
Puis on enchaîne avec 10 km assez plat dans une combe , je trouve ça vraiment long les passages sans forêt et sans dénivelé mais la glisse est assez bonne et je rattrappe encore plusieurs skieurs.
                    
Au 30ème on s'offre une petite boucle de 10 km  en suisse, et là je ne sais pas si c'est le changement de pays mais tout devient difficile, je trouve que mes skis ne glissent plus et puis les jambes fatiguent et je sens "le coup de moins bien" arriver. Même le ravito du 40ème ne suffit pas à recharger toutes les batteries. Je sens les crampes se rapprocher dangereusement de mes cuisses.



C'est  fatigué et un peu démoralisé que je rejoins Bois d'Amont au 39ème km. Je profite du ravito avant la fameuse montée du Risoux annoncée comme la grosse difficulté de la course.
Dès les premiers mètres  les crampes  mordent mes ischios , ça yest je le redoutais et comme d'habitude il va falloir gérer la fin de course avec les crampes. Mais là il reste les 6 km de la montée du risoux  et plus de 35 km en tout .
Puis on doit s'arrêter net , la pente s'est fortement accentuée et on ne peux passer que un par un . Il faut donc attendre pendant 5 minutes à l'arrêt avant de débuter cette terrible montée. Certains ronchonnent un peu mais pour moi cela arrive à point .

                   

Et comme par magie ces 5 minutes de repos ont fait fuir les crampes et je ne les ressentirais plus jusqu'au sommet. Comme annoncée cette montée est très longue, il n'y a pas un bruit chaque skieur se concentre sur ses gestes en essayant de s'accrocher à celui de devant ou de tenter de suivre celui qui essaie de doubler. C'est une succession de faux plats montant et de pentes un peu plus raide. On croit toujours être au sommet, au dernier virage, mais à chaque fois, il faut relancer, s'accrocher dans une neige de plus en plus épaisse.  La forêt est magnifique, recouverte de presque un mètre de neige, il y règne un silence surprenant dans lequel  on peut sentir la souffrance et la motivation de chaque concurrent .



Puis au détour d'un virage, on entend à nouveau des voix, ça y est c'est le ravito annonçant la fin de la montée. Près de 4H00 de course et là je me dis que le plus dur est fait !
En plus je sais que 5 km plus loin en bas de la descente je retrouve Patricia, les enfants  et Anthony . ça c'est bon pour le moral !

Les descentes sont loin d'être des moments de repos, les virages sont dangereux, on aperçoit souvent un skieur à terre, mais impossible de s'arrêter. Alors juste un " ça va ? ", et on continue.  Et les crampes réapparaissent en bas de la descente .... trop crispé !

Enfin je vois Patricia et les enfants, je m'arrête 1 ou 2 minutes pour discuter, cela fait du bien de se sentir soutenu, mais je sens que la fin va être difficile, il reste encore 25 km.
Anthony s'est proposé de m'accompagner jusqu'à la fin en ski . Son aide et ses encouragements me seront précieux.



Car aussitôt reparti, les crampes reviennent en force et je suis obligé de m'arrêter pour tenter de m'étirer. Je passe en mode gestion des crampes ou plutôt de la crampe car contrairement à la course à pied il n'y a que l'arrière de la cuisse droite qui est touché. Le reste supporte assez bien la course.

On enchaine les longues lignes droites , assez plates. Anthony m'ouvre le chemin et essaie de s'adapter à mon rythme assez lent et inconstant. Mais finalement les autres skieurs ne vont pas plus vite et les kms défilent très lentement, trop lentement à mon gout.

La piste longeant souvent la route cela permet à Patricia et aux enfants de m'encourager très souvent. Les enfants courent à côté de nous en secouant leurs cloches , c'est amusant et redynamisant. J'attends leur prochaine intervention avec impatience ( cela aussi ça aide à tenir).
Allez plus que 20 km , la combe des Cives après Chapelle des bois parait interminable, la bise s'est levée et souffle face à nous. Mon cerveau est maintenant déconnecté de mon corps. Je ne suis plus en mesure de réfléchir, d'ailleurs heureusement car je m'arrêterai tout de suite. Je pense juste que chaque poussée de bâton me rapproche un peu de l'arrivée.



Anthony est toujours là et me protège un peu du vent ( j'aurrai bien aimé qu'il ait une carrure plus développée mais bon tant pis!). Son aide est de plus en plus appréciée .
On m'avait dit que la fin était plate ou descendante mais c'est faux. 

La fin est dure , chaque bosse est un calvaire. Et puis à la fin de la combe des Cives ce n'est pas une bosse mais un pic. Une montée de presque 1 km avec des pourcentages importants. Je maudis les organisateurs et serre les dents pour rester au contact d'Anthnony. Enfin nous rejoignons le pré Poncet. Patricia est là et l'on peut échanger quelques mots pendant le ravito,

puis les enfants courent pendant 200 mètres à côté de nous en secouant leurs cloches et  en rigolant de leurs chutes dans la poudreuse.


Le moral remonte ! comme la piste malheureusement. Encore 2 - 3  bosses interminables puis c'est la descente sur chaux neuve.


                                                   
On m'avait prévenu , c'est technique ! En fait quand on vous dit cela, il faut traduire c'est super dangereux !  En effet le centre de la piste c'est de la glace polie par le passage de 1000 skieurs appuyant à fond sur leurs cuisses pour freiner en chasse neige et sur le bord c'est 30 cm de poudreuse dans laquelle il est impossible de diriger ses skis.

J'aperçois sur la droite 2-3 skieurs recouvert de neige et essayant de se relever et sur la gauche une dizaine de skieurs qui ont préféré déchausser et qui descendent en file indienne.

J'hésite mais c'est déjà trop tard, je suis dans la pente et le chasse neige est totalement inéficace sur le centre de la piste. Plus moyen de ralentir, une seule solution passer en force et espérer que la chute ne soit pas trop grave.
Je choisis le passage dans la poudreuse , ce qui ralenti un peu mais empêche tout controle des skis. Les cuisses brûlent, le cardio doit être à 200, une skieuse est juste devant moi et descend beaucoup moins vite.... j'attends la chute.
Je heurte son baton qui par miracle ne se bloque pas entre mes jambes, pas le temps de m'excuser j'enchaîne les virages comme je peux et arrive décomposé mais heureux en bas.

Je me retourne alors et n'aperçois plus Anthony, il doit être tombé. J'espère qu'il n'a rien car je ne peux pas remonter le voir. Puis après une trentaine de secondes il réapparait recouvert de neige mais indemne. Ouf on va pouvoir finir cette sacrée transju !

Dernier ravito au bas du tremplin de chaux neuve et plus que 7 km normalement descendant. Mais la fatigue est bien présente , ce ne sont plus seulement les crampes mais aussi le coeur et tout mon corp qui veut s'arrêter.
 Les encouragements d'Anthony, l'envie de finir et la proximité de l'arrivée m'aide à passer les dernières difficultées et je vois enfin Mouthe.


Encore 1 km et j'aurai vaincu la transju.
Je décide de profiter pleinement des 500 derniers mètres , de chaque encouragement de spectateur, du soulagement dans les gestes et sur les visages des skieurs à côté de moi, de chaque poussée de bâton me rapprochant de cette ligne tant convoitée...c'est magique !

La dernière ligne droite avec ses couloirs séparés par des branches de sapin pour permettre aux premiers de sprinter sans se gêner. C'est comme à la télé dans les grandes courses, d'ailleurs c'est une grande course !
Je ne résiste pas à ce plaisir et je choisis le couloir de gauche pour sprinter et dépasser le skieur devant moi, ça y est,  je suis champion du monde.

Pas tout à fait, mais j'ai fini la transju et c'est déjà pas mal.

                                               
La ligne d'arrivée franchie, l'émotion me gagne , je veux profiter de ce moment , je retiens mes larmes mais cet instant est tout de même fort , on repense à tous ces moments de souffrance, d'effort , mais aussi et surtout de plaisir. La fierté de l'avoir fait, de s'être surpassé et d'avoir froler ses limites physiques du moment.
En fait je crois que c'était pour ce moment là que j'ai fait cette course

Grâce à l'énorme soutien d'anthony, (à l'entrainement mais aussi et surtout sur cette fin de course) , à la patience  et au soutien de Patricia et aux encouragements extraordinaires  de  Jules ,Tristan et Mélissa ....
 je ne pouvais pas abandonner !



Encore merci à vous ! 
et à tous les cours tout doubs pour leurs messages d'encouragement avant et après la course.


Finalement avec 2129 arrivants :

je termine 1214 ème en 6 H 25 min et 30 sec

Un bon résultat qui devrait me faire gagner une ligne pour l'année prochaine

Mais çà c'est une autre histoire.

Et bravo à vous pour être aller jusqu'au bout de cet article , certes un peu long .
Mais bon c'est pour se souvenir de tous ces moments plus tard,  ou au moment de se réinscrire .

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26 janvier 2009 1 26 /01 /janvier /2009 07:56

                                


Les cours tout doubs n'auront pas attendu longtemps pour inaugurer leur nouveau maillot 2009.




C'est Eric  qui ouvre le bal avec le cross de Fresse sur Moselle.Cette course de 6,5 km pour les séniors regroupait 150 participants toutes catégories confondues.

Le départ est donné sous un soleil magnifique mais sur un sol un peu gelé et parfois glissant.

                  

Eric ayant repris l'entrainement depuis peu, il venait donc tester sa forme sur ce cross champêtre.
Inscription gratuite, maillot offert et petit ravitaillement font de cette course ,l'une des 2 plus vieilles courses du département un moment privilégié pour reprendre la compétition.

Chaque catégorie bénéficie d'un départ différent et ils étaient 29 séniors pour affronter notre "cours tout doubs" du jour. Pas de dossard, juste un petit papier dans la poche et c'est parti !

Cela commence par une côte assez pentue qui a vite raison des cuisses d'Eric ( sûrement les effets du fractionné de la veille). En haut de la bosse les écarts sont faits , le podium est déjà oublié (...).
Les jambes dures, isolé sur les chemins de Moselle, les sensations sont difficiles pour Eric qui s'accroche. Les kms défilent un peu trop lentement à son gout .

Enfin l'arrivée et une 16ème place sur 30 tout de même encourageante.
Pour le temps , il faudra attendre car la montre d'Eric n'a pas fonctionné, mais est ce vraiment important ?


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les prochains exploits

 

             Trail de la nuit d'or 

            Villars Fontaine ( 21) 

 

   Samedi 24 novembre

Départ à 17h30

 

Sont inscrits ou presque :

 

        Jean Louis, Fred, Dorothée,

JC, Olivier, Gilles 

 

 

  Voir le site 

 

   

à suivre

 

 

 

 

 

 

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